La Nef d'Ishtar

La Nef d'Ishtar
Compagnie de théâtre
Avignon

• Ishtar
  
  La Nef d'Ishtar est à la fois le nom de la compagnie et le titre de sa première création.

  

  Ishtar est l'une des plus importantes divinités de la Mésopotamie. C'est la déesse de l'amour et de la sexualité, c'est également une déesse guerrière, une divinité astrale associée à la planète Vénus. Elle a la faculté d'associer les opposés et de briser les interdits. Plus largement, son rôle symbolique est celui d'être Femme, d'incarner l'image d'un féminin libre de toute tutelle masculine à l'inverse de la norme des sociétés patriarcales.
  
  Le titre La Nef d'Ishtar est emprunté à celui d'un roman d'Abraham Merritt, The Ship of Ishtar, 1923.

• Cie La Nef d'Ishtar
  
  La compagnie et le spectacle La Nef d'Ishtar sont issus de la rencontre professionnelle de la comédienne Jade Saget et du metteur en scène Alain Igonet.
  
  La compagnie et le spectacle ont été créés à l'occasion du Festival d'Avignon Off 2016 au Centre européen de Poésie d'Avignon.

  

• Axe de travail de la compagnie.
  
  L’axe de travail de la compagnie s’articule autour des désirs communs et des expériences antérieures de ses fondateurs.
  Notre souhait est de mettre en priorité en avant des écritures d’auteurs contemporains (XX^e, XXI^e).
  Pour ce qui est de la forme, notre travail se situe dans une démarche de sobriété tant au niveau de l’interprétation que de la mise en scène et des scénographies. S’agissant de l’interprétation et de la direction d’acteur, elles s’inscrivent dans la lignée de l’école russe de Stanislavski et de l’école américaine de l’Actors Studio : intériorité, efficacité, crédibilité, sobriété. En ce qui concerne la scénographie et les décors, ils sont réduits au minimum nécessaire pour susciter l’imagination des spectateurs sans écraser l’action par une présence trop prégnante.
  Que le propos soit plus léger, plus complexe ou plus dramatique, notre désir premier est d’apporter du bonheur aux spectateurs, de les faire s’évader, rêver, et surtout pas de leur prendre la tête. L’instant de la représentation doit être avant tout un plaisir, même si le propos pose les germes d’une réflexion ultérieure.